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LA BONNE ETOILE

Mise-en-scène : Mariline Gourdon Devaud

Jeu : Anne-Louise de Ségogne et Nessim Vidal

Texte : Anne-Louise de Ségogne et Mariline Gourdon Devaud

Création musicale : Nessim Vidal

Création lumière : Clément Commien 

SYNOPSIS

Il était une fois une prophétie ancienne…

Au cours du troisième millénaire lors de la plus longue nuit de l’hiver apparaîtra dans le ciel une étoile, signe étincelant d’une grande nouvelle : un enfant-roi.

Il était une deuxième fois une reine et un roi tristes de ne pas avoir d’enfant: Nicolas scrute le ciel et attend l’Etoile, tandis qu’Astrée règne sur un pays de glace et de neige.

Il était de nombreuses fois Mag et Ralph les rennes, s’affairant à préparer les festivités du solstice d’hiver, la fête des lumières: petits et grands s’émerveillent chaque année pour cette nuit unique…

La bonne étoile est une quête joyeuse dans l’univers de l’enfance, pour toutes celles et ceux qui croient toujours aux fées, aux ogres, aux sorcières et pourquoi pas au père Noël ?

NOTE D’INTENTION

L’histoire d’un roi et d’une reine qui ne peuvent pas avoir d’enfants et qui seront les parents de tous les enfants du monde. La naissance du père Noël.

Nous avons travaillé l’écriture au plateau avec les comédiens. Le texte de départ d’Anne Louise s’est étoffé des propositions de jeu, des apports d’improvisations et des situations des personnages. Le processus d’écriture s’est achevé lors une semaine de résidence à l’automne 2020. Les séquences courtes, l’alternance des 4 personnages pour amener un rythme, un souffle, ont permis de construire le récit sans qu’il soit linéaire.

La narration fait des allers retours chronologiques portés par Ralph et Mag, les deux rennes du royaume. Ces deux personnages portent les rivalités, les différences de caractère, les enjeux de séduction, qui sont finalement complémentaires. Ce sont les deux clowns qui jouent la comédie en opposition à la Reine et au Roi qui eux portent la tragédie. Donc leur langue n’est pas la même.

Une langue moderne, tantôt soutenue tantôt familière qui emprunte des séquences à d’autres auteurs (Saint Exupéry, Molière, Shakespeare…) comme un clin d’oeil à des références que les petits n’ont pas encore, mais que les grands s’amuseront à reconnaitre.

Parler du ciel, c’est parler des étoiles et des constellations, mais c’est aussi parler de Galilée et des savants qui scrutent l’univers. Sans être didactique, le texte est à la fois un conte, une pièce de théâtre, une proposition musicale. Les chansons apportent des suspensions, des virgules pour les enfants. Ce sont des pauses narratives qui créent le zoom cinématographique sur les émotions des personnages.

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